Après sa journée à la plage, Rodor retourna à l’auberge pour la nuit. Le soleil commençait déjà à disparaître à l’horizon. Poussant la lourde porte, le guerrier eu une bonne surprise en apercevant un ami.
« Seigneur Jarl ! Quels bons vents vous amènent en ces lieux ? »
Rodor approcha de Jarl, faisant les salutations rituelles. Puis posa le coude sur le comptoir, il fit signe à la serveuse.
« Bonsoir, demoiselle. Auriez vous l’amabilité de me servir une bonne chope de bière bien tiède, dit il en posant son imposant marteau au sol. Et pourriez vous satisfaire mon appétit, Rodor marqua un temps puis reprit, avec une bonne pièce de viande à votre convenance, j’ai toute confiance en votre choix. »